Institution et révolution

De la difficulté formelle

Pour éviter le discours écrit ou oral (qui se doit d’être linéaire, avec un début, un milieu, une fin), la dynamique institution/révolution se présente ici sous forme de schéma, forme visuelle.

Représentation bidimentionnelle

Description narrée.

Une institution tient par la rigueur de son ce qu’elle institue. Grâce à une certaine discipline, on défend des valeurs portées. En polarité de l’institution se trouve la révolution, qui se veut in-dépendante de l’institution (mais dont la dynamique est en fait contre-dépendante, cf. les niveaux de conscience).

Se distancier de l’institution, c’est se heurter à de la résistance au changement de la part de certains, ce qui va nécessiter du temps (de latence) jusqu’à atteindre une certaine masse critique de pression. Cette pression se fera «contre l’oppression de l’institution» selon certains et «contre la révolte» selon les autres.

C’est le rapport de chacun de nous au groupe (cf. Moi et les Autres) qui sera en jeu, chacun défendant son rapport aux valeurs d’autonomie, et d’indépendance.

Institution, constitution

«- Je suis comme ça, point final !»
… et donc ?
Tu ne veux pas changer ? Tu ne peux pas changer ?

Alors, si tout va bien et qu’on ne peut rien améliorer…